Agir pour «désenrager» nos sociétés
En 2022, 63 nouveaux dossiers ont été ouverts suite à des menaces proférées par des trafiquants de drogue ou sur les réseaux sociaux.


Le nombre de personnalités protégées en Belgique a crû au cours de ces dernières années, avec une « spectacularisation » lorsque ce sont des ministres ou des présidents de parti qui sont placés sous protection ou dans des « safe houses ». Les hommes et femmes politiques ne sont pourtant pas les seuls touchés par un phénomène qui vise aussi des magistrats, des avocats et des journalistes. Notre pays n’est d’ailleurs pas le seul en Europe à connaître cette recrudescence et ces menaces ne sont pas « neuves », souvent associées à des périodes de l’histoire marquées par le développement de groupes extrémistes. Mais aujourd’hui, cela semble exacerbé, et dans certains cas, banalisé.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir20 Commentaires
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Posté par Raspe Eric, vendredi 27 janvier 2023, 23:26
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Posté par Petitjean Marie-rose, dimanche 29 janvier 2023, 20:19
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Posté par collin liliane, vendredi 27 janvier 2023, 13:32
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Posté par Raspe Eric, vendredi 27 janvier 2023, 23:20
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Posté par Raspe Eric, vendredi 27 janvier 2023, 12:34
Plus de commentairesComme par hasard, le commentaire de Marie-rose Petitjean, parfaitement responsable et comme d'habitude écrit avec des mots bien choisis loin des insultes habituelles a été viré de ce fil de commentaires. Son tort : avoir critiqué la politique éditoriale de ce journal par rapport aux commentaires des articles. Ce journal est de plus en plus décevant.
Eric, au sujet de cette suppression, je me suis permis de demander une explication à M. Berti et à Mme Delvaux. Non que je conteste au soir.be un droit de regard sur le forum - au contraire je le demande comme vous depuis longtemps - mais, dans le cas présent, j'ai du mal à comprendre ce qui m'apparaît comme de la censure pure et simple pour avoir déplu sans cependant avoir enfreint les règles de bonne conduite. J'espère une réponse.
Merci au Soir d'autoriser encore une liberté d'expression dont veulent nous priver les partisans du wokisme et de la cancel culture qui ne supportent pas d'autres opinions que les leurs.
Il ne s'agit pas d'empêcher l'expression d'avis différents, collin. Mais d'éviter les appels répréhensibles à la haine, à la discrimination et à la violence dont vous êtes souvent l'auteur. Il s'agit de ne pas mélanger les torchons des réseaux sociaux avec les serviettes du journalisme. Libre à vous de déverser vos biles dans ces réseaux. Par ailleurs, toute votre prose démontre combien vous supportez mal les avis qui divergent des vôtres.
Ce qui fut un grand journal est complice de l'expansion populiste en se comportant plus comme un réseau social que comme un outil d'information. Combien de fois n'a-t-on pas été face sur ce site à de véritables appels au meurtre et à la destruction de politiciens. Même sous couvert hypocrite de citation latine. Combien de fois ces commentaires haineux sont resté en place alors que ceux qui les dénoncent ont été supprimés? La Libre et RTL ont bien compris le danger. La Libre n'autorise pas les commentaires directs de ses articles mais fait la synthèse des commentaires qu'elle juge les plus pertinents. RTL ne permet de commenter ses articles que via sa page facebook. Heureusement, parce que la profondeur de réflexion de ces commentaires était proportionnelle à l'orthographe très approximative de ceux-ci. Qu'attend ce site pour choisir entre une activité de réseau social et une activité journalistique? Qu'attend madame Linard pour arrêter de subsidier les activités de réseau social de journaux peu scrupuleux?