Le mercato au détriment du résultat à Sclessin? Autant éteindre la lumière tout de suite
Le coup franc de Frédéric Larsimont, notre chef foot, sur le mercato du Standard.

La guerre des nerfs. En plein cœur du suspense. A Sclessin comme ailleurs. A moins de 48 heures de la fermeture de ses marchés hivernaux, le mercato vit sous influence. A l’approche des échéances, les agents raclent les fonds de carnets d’adresses tandis que les dirigeants de clubs agissent à l’identique avec leurs fonds de tiroirs. Un prêté pour un rendu, une faveur contre une autre, un petit service d’amis en échange d’une promesse pour un deal futur. L’urgence de la fin janvier dicte sa loi au même titre que la nécessité fait loi. Nul ne l’ignore plus dans le milieu, que ce soient les joueurs, les gestionnaires de clubs et les facilitateurs d’affaires.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Pas très objectif le Sieur Larsimont !!!
Si Raskin ne coûte que 2 millions, pourquoi aucun club belge ne fait une offre ?