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Le paradoxe de Fermi a décidément la vie dure

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Le 20 mai 1950, au cours d’un déjeuner resté dans les annales, le physicien italien Enrico Fermi s’exclamait à peu près en ces termes : « S’il y avait des civilisations extraterrestres, leurs représentants devraient déjà être chez nous. Où sont-ils donc ? »

Pour certains, le paradoxe résulte d’un anthropocentrisme qui empêche de répondre à la question. D’autres l’ont reformulé, de manière à ouvrir le débat. Notre Terre étant plus jeune que l’univers d’environ un milliard d’années, on peut alors supposer qu’au moins une civilisation extraterrestre de la galaxie, si tant est qu’elle existe ou ait existé, ait développé et entrepris une colonisation interstellaire, laquelle nécessiterait (et c’est prouvé) uniquement quelques millions d’années. Dans ce cas, nous devrions pouvoir observer des traces de cette civilisation. Mais nous n’en voyons pas. Ni traces ni signaux radio (ou autres) qui attesteraient une manifestation extraterrestre.

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