«La Ligne»: défaillances familiales
Renvoyant chacun à sa propre part de folie, à ses insécurités, à son besoin d’être aimé, le film met en évidence une certaine forme d’espoir, grâce notamment à la force de ses acteurs.


De Ursula Meier, avec Stéphanie Blanchoud, Valeria Bruni Tedeschi, Benjamin Biolay, Elli Spagnolo, Dali Benssalah, India Hair, 101 mn.
Un mur blanc. Du mobilier qui vole sur fond de musique baroque. Des excès de violence. Des coups qui fusent. Immensément cinématographique, remarquablement chorégraphiée, filmée en slowmotion, la captivante scène d’ouverture de La Ligne plante directement le décor. Le film parle de la violence sans fard. De la complexité des relations familiales. De la manière d’évoluer dans un contexte parfois complexe.

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