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Ursula Meier: «La Ligne parle de nous et d’amour»

Co-écrit avec (et écrit pour) Stéphanie Blanchoud, « La Ligne » raconte l’histoire d’une jeune femme pétrie par la colère, qui a du mal à interagir avec le monde et avec sa famille.

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 5 min

Ours d’argent en 2012 pour L’enfant d’en haut, Ursula Meier raconte que l’idée de départ de La Ligne vient d’une envie de mettre en scène un personnage féminin violent. « Au départ, l’envie était presque de partir de Stéphanie parce que je voulais écrire pour elle. Il y avait la boxe (que Stéphanie Blanchoud abordait au théâtre dans Je suis un poids plume, NDLR). Stéphanie a aussi quelque chose de très organique. Je me suis donc dit qu’on allait partir du corps. La violence portée par une femme était quelque chose qui me travaillait. Souvent, au cinéma, la violence est portée par des personnages masculins. Et on l’accepte totalement. Alors que quand ce sont des femmes, ce sont plutôt des adolescentes un peu rebelles. J’avais envie de mettre en scène un personnage féminin violent de 35 ans, sans qu’il y ait de sous-thème comme la drogue, la prostitution… »

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