Ces nouvelles technologies qui transforment nos supermarchés

Intelligence artificielle en rayons, robots livreurs et magasins automatisés entrent dans le quotidien des consommateurs. Des innovations qui n’annoncent pas que de bonnes perspectives pour les travailleurs.

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Carrefour teste le robot Delivers.ai à Zaventem en vue de livraisons automatisées à domicile dans une grande ville.

Journaliste au service Economie

Par Julien Bosseler

Publié le 3/02/2023 à 20:36 Temps de lecture: 7 min

Des robots à quatre roues qui vous livrent à domicile, des magasins sans personnel qui vous accueillent à toute heure du jour et de la nuit, des drones qui réalisent chaque nuit l’inventaire en rayons… Ces dernières semaines, des chaînes de magasins ont multiplié les annonces de tests et de mises en service de nouvelles technologies censées améliorer le service à la clientèle et rendre plus léger le travail du personnel. Une révolution technologique dans votre supermarché ? Parlons plutôt d’évolution rendue possible par l’arrivée à maturité d’outils informatiques et robotiques, dont le commerce serait sot de se passer ou du moins de ne pas tester, tout comme tant d’autres grands acteurs privés. Ne perdant toutefois pas le nord, le retail ne se prive pas de communiquer sur ces essais grandeurs nature pour soigner son image.

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3 Commentaires

Posté par Alain Caufriez, dimanche 5 février 2023, 10:03

Que fera t'ont des profils non qualifiés sans parler de ceux sans compétences? C'est la question de Setca. Faut-il un diplôme au minimum de secondaire pour être employé dans une grande surface ou un retailler de vêtements? Si le Setca trouvait et proposait des solutions ou mieux mettait en place des centres de formation pour les sans compétence ? ce serait un pas positif. Le débat est bien plus profond que la polémique autour de la perte d'emplois due à l'évolution de nouvelles technologies. Il s'agit de formation de base. Non?

Posté par Bartet Guy, dimanche 5 février 2023, 6:14

Pourquoi s'obstiner à dire et écrire QR code, avec dans la même phrase un code-barres ? Si c'est de l'anglais, on ne peut dire <ku-èr-kode>, en français mais plutôt <kiou-âr-kôd>. Et si c'est du français, ce doit être code QR. Oui mais QR c'est "Quick Response" en anglais et on doit donc le mettre devant... Il suffit de traduire QR par "Question-Réponse" en français et le tour est joué. Tous ces termes anglais prononcés à la française sont ridicules.

Posté par Esquenet Alexandre, samedi 4 février 2023, 12:40

A bruxelles il se ferait voler et désosser en moins de deux minutes.

Posté par Alain Caufriez, dimanche 5 février 2023, 10:03

Que fera t'ont des profils non qualifiés sans parler de ceux sans compétences? C'est la question de Setca. Faut-il un diplôme au minimum de secondaire pour être employé dans une grande surface ou un retailler de vêtements? Si le Setca trouvait et proposait des solutions ou mieux mettait en place des centres de formation pour les sans compétence ? ce serait un pas positif. Le débat est bien plus profond que la polémique autour de la perte d'emplois due à l'évolution de nouvelles technologies. Il s'agit de formation de base. Non?
Posté par Bartet Guy, dimanche 5 février 2023, 6:14

Pourquoi s'obstiner à dire et écrire QR code, avec dans la même phrase un code-barres ? Si c'est de l'anglais, on ne peut dire <ku-èr-kode>, en français mais plutôt <kiou-âr-kôd>. Et si c'est du français, ce doit être code QR. Oui mais QR c'est "Quick Response" en anglais et on doit donc le mettre devant... Il suffit de traduire QR par "Question-Réponse" en français et le tour est joué. Tous ces termes anglais prononcés à la française sont ridicules.
Posté par Esquenet Alexandre, samedi 4 février 2023, 12:40

A bruxelles il se ferait voler et désosser en moins de deux minutes.