L’ancien Zèbre Ali Gholizadeh est un miraculé en Turquie: «Tous les bâtiments se sont effondrés sauf le nôtre»
Il est légèrement blessé. Mais les conséquences auraient pu être nettement plus fâcheuses vu le nombre de victimes…

Plus de 2.300 personnes, selon des bilans provisoires, ont été tuées lundi dans le sud-est de la Turquie et en Syrie voisine par un puissant séisme de magnitude 7.8, suivi quelques heures plus tard par une très forte réplique. L’aide internationale se mobilisait après ces secousses enregistrées jusqu’au Groenland.
L’ancien Zèbre Ali Gholizadeh a survécu à ce cauchemar, lui qui terminera la saison en Turquie, au Kasimpasa SK, et qui a disputé les seize dernières minutes du match perdu à Hatayspor (1-0). « Je me considère comme très chanceux », avoue-t-il dans des médias iraniens. Il faut dire que l’épicentre du séisme se trouvait non loin de Hatayspor…
Soyons précis. L’ancien Zèbre est tout de même blessé. Mais ce n’est rien face à l’ampleur de la catastrophe. « J’ai été touché à la côte », concède-t-il. « Je ne sais pas comment nous avons survécu. Dieu a eu pitié de nous car le bâtiment de l’hôtel dans lequel nous séjournions ne s’est pas effondré. Or, tous les bâtiments autour ont été pulvérisés. Cette ville est la plus endommagée du pays par le tremblement de terre ».
La peur régnait avant de pouvoir prendre un avion afin de fuir. « On ne peut pas imaginer ce que nous avons vécu. Tout le monde a été projeté au sol ou contre les murs. Il a fallu lutter pour quitter l’hôtel. Aux alentours, tout s’effondrait. C’était apocalyptique ».
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