Alain Berenboom, noir-jaune-rouge né d’une glaise polono-russo-juive
Un père polonais, une mère lituanienne, arrivés en Belgique dans les années 1930. Et voilà Alain Berenboom devenu aujourd’hui un juriste expert du droit d’auteur, un écrivain reconnu, l’avocat de Moulinsart, c’est-à-dire de Tintin, de la Fondation Magritte et de la famille royale. Plus Belge que ça… «Mon père s’est senti comme s’il avait toujours été belge. Mes parents ont fabriqué avec moi un Belge de souche.»


Ses racines élémentaires, Alain Berenboom les trouve avant tout dans son histoire familiale. Ces moments des années 1920 et 30 où, poussés par la volonté de poursuivre des études, ses parents, Chaïm et Rebecca, quittent l’un la Pologne, l’autre la Lituanie pour gagner la Belgique. Le courage, l’amour de la vie, l’optimisme, ils les ont injectés au petit Alain. Et surtout l’amour de la Belgique, terre d’accueil, terre de vie de ses parents. Il y a d’autres racines encore, évidemment. Il y a André Delvaux, le professeur de néerlandais et de cinéma. Il y a Paul Delsemme, le professeur de littérature française. Mais écoutons Alain Berenboom se raconter. Comme nous le lirons bientôt, en octobre. C’est alors que son dernier livre, M. Optimiste, sera publié. L’histoire de ses parents.
M. Optimiste, c’est votre père?

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire