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Dominique Deruddere, réalisateur de «The Chapel»: «Je n’ai jamais eu le rêve américain»

Passionné de musique, Dominique Deruddere choisit le Concours Reine Elisabeth comme terrain de jeu pour son nouveau film. Un prétexte pour construire un drame psychologique porté par Taeke Nicolaï.

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 6 min

Candidat aux Oscars en 2000 avec Iedereen Beroemd ! (Everybody Famous), Dominique Deruddere fait partie de la génération des cinéastes flamands qui explosa dans les années 1990. Après avoir vécu un temps aux États-Unis, il est désormais de retour en Belgique. Un pays qu’il n’a pour ainsi dire jamais quitté, du moins en tant que cinéaste.

Après deux documentaires, il revient à la fiction avec The Chapel, un film centré sur Jennifer Rogers, une jeune pianiste virtuose qui participe au Concours Reine Elisabeth. Alors qu’elle est sélectionnée en finale et qu’elle doit passer une semaine dans la Chapelle, isolée du monde extérieur pour préparer cette épreuve, les traumatismes du passé refont surface.

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