Les «somnifères» sans ordonnance facilitent-ils vraiment le sommeil?
Alors que depuis le 1er février, un nouveau programme de sevrage des somnifères est proposé en pharmacie, qu’en est-il de la vente des « aides à l’endormissement » sans ordonnance ? Une alternative sans risque pour la santé ?

Se tourner, puis se retourner dans son lit en observant les heures défiler sur le cadran de son réveil. Une situation qui semble familière à un Belge sur trois, selon les dernières statistiques dévoilées par la VUB et l’hôpital Brugmann, à Bruxelles, en 2021. Parmi ces personnes qui souffrent de troubles du sommeil, Chloé, une étudiante en droit. Ses premières crises d’insomnie sont survenues l’an passé alors qu’elle débutait tout juste son cursus universitaire. « Au départ, je provoquais le fait de ne pas dormir pour pouvoir continuer à travailler jusqu’au petit matin, notamment en période d’examens. Sauf qu’à force, j’ai eu le sentiment de me dérégler complètement. Aujourd’hui, même lorsque je n’étudie pas, je ne parviens pas à dormir. » Chloé est formelle : à l’heure du coucher, la « petite voix » dans sa tête prend le dessus systématiquement dans sa lutte interne contre le marchand de sable.

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