Guerre en Ukraine: après le Royaume-Uni, Zelensky est attendu en France ce mercredi soir

Selon l’Elysée, Volodymyr Zelensky est attendu en soirée à Paris. Cette annonce a lieu alors que le président ukrainien s’est déjà rendu à Londres ce mercredi et qu’il est attendu à Bruxelles ce jeudi.

Par AFP

Publié le 8/02/2023 à 15:22 Temps de lecture: 1 min

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est attendu mercredi soir à Paris, après sa visite à Londres, a annoncé l’Elysée à l’AFP, confirmant une information de BFMTV.

Le chancelier allemand Scholz est également attendu lors de cette rencontre entre Macron et Zelensky, à Paris, précise l’Elysée.

Le chef de l’Etat ukrainien est ensuite attendu jeudi à Bruxelles pour un sommet de l’Union européenne.

Rencontre avec Sunak

Volodymyr Zelensky a exhorté mercredi ses alliés occidentaux à lui fournir les « armes nécessaires » pour stopper l’invasion russe, lors de sa rencontre à Londres avec le Premier ministre britannique Rishi Sunak.

5 Commentaires

Posté par Dumont Alexandre , mercredi 8 février 2023, 15:32

Ça commence furieusement à ressembler à une quête pathétique d'appuis européens mandatés pour compenser un début de lâchage américain.

Posté par Dumont Alexandre , mercredi 8 février 2023, 16:10

Van Obberghen. Vous avez omis le rapprochement souhaité par Macron envers Bachar al Assad.

Posté par Dumont Alexandre , mercredi 8 février 2023, 16:06

Amusant. Il suffit donc de claquer les doigts pour rameuter le poulailler.

Posté par Bertrand Christophe, mercredi 8 février 2023, 16:01

Finalement , chaque jour sur ce forum vous inventez votre réalité , un peu comme les enfants

Posté par Van Obberghen Paul, mercredi 8 février 2023, 15:51

"début de lâchage américain" Et les éléments qui vous font dire cela sont ? Ceux qui lâcheront les 1ers les Ukrainiens se trouvent de ce côté-ci de l'Atlantique et en France en particulier. Des voix proéminentes non suspectes d'être d'extrême gauche ou droite (Luc Ferry, Gérard Araud, ...) s'y élèvent pour forcer l'Ukraine à céder une partie de son territoire à la Russie pour que la guerre cesse. Même Macron, qui tutoie Poutine, a plusieurs fois laissé entendre que l'Ukraine devra se faire à l'idée d'être amputée d'une partie significative de son territoire. Il freine la livraison d'armes qui pourraient permettre à l'Ukraine de récupérer ses territoires conquis, juste pour maintenir le status-quo et forcer les négociations. Le début de lâchage, il viendra de la France, pas des Etats-Unis. Ce qui fondamentalement, ne change rien à l'affaire.

Posté par Dumont Alexandre , mercredi 8 février 2023, 15:32

Ça commence furieusement à ressembler à une quête pathétique d'appuis européens mandatés pour compenser un début de lâchage américain.
Posté par Dumont Alexandre , mercredi 8 février 2023, 16:10

Van Obberghen. Vous avez omis le rapprochement souhaité par Macron envers Bachar al Assad.
Posté par Dumont Alexandre , mercredi 8 février 2023, 16:06

Amusant. Il suffit donc de claquer les doigts pour rameuter le poulailler.
Posté par Bertrand Christophe, mercredi 8 février 2023, 16:01

Finalement , chaque jour sur ce forum vous inventez votre réalité , un peu comme les enfants
Posté par Van Obberghen Paul, mercredi 8 février 2023, 15:51

"début de lâchage américain" Et les éléments qui vous font dire cela sont ? Ceux qui lâcheront les 1ers les Ukrainiens se trouvent de ce côté-ci de l'Atlantique et en France en particulier. Des voix proéminentes non suspectes d'être d'extrême gauche ou droite (Luc Ferry, Gérard Araud, ...) s'y élèvent pour forcer l'Ukraine à céder une partie de son territoire à la Russie pour que la guerre cesse. Même Macron, qui tutoie Poutine, a plusieurs fois laissé entendre que l'Ukraine devra se faire à l'idée d'être amputée d'une partie significative de son territoire. Il freine la livraison d'armes qui pourraient permettre à l'Ukraine de récupérer ses territoires conquis, juste pour maintenir le status-quo et forcer les négociations. Le début de lâchage, il viendra de la France, pas des Etats-Unis. Ce qui fondamentalement, ne change rien à l'affaire.