Un jeune sur trois souffre d’anxiété ou de dépression
Une enquête trimestrielle de Sciensano suit l’évolution de la santé mentale des Belges. Le premier volet de cette étude Belhealth montre que les niveaux d’anxiété et de dépression sont élevés, en particulier chez les jeunes.


Dans la continuité des enquêtes réalisées tout au long de la crise du covid et des enquêtes nationales de santé par interview (HIS) depuis 1997, l’Institut de santé publique Sciensano s’attarde désormais plus spécifiquement sur la santé et le bien-être de la population belge. L’étude longitudinale Belhealth, dont un premier volet vient d’être révélé, sondera chaque trimestre une large cohorte de Belges (7.703 répondants) sur leur santé en général et leur santé mentale en particulier. L’idée est de suivre l’évolution des réponses pour les deux prochaines années au moins.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir10 Commentaires
Surtout lors qu'il lit le plan GOOD MOOVE !!!
Les commentaires des boomers de ce forum sont toujours aussi pathétiques. Force est de reconnaitre que jamais les perspectives n'ont été aussi négatives pour les jeunes. Certes le concept de crise est de mise depuis 1973 mais les théories de l'effondrement (climatique, économique, démographique, politique et démocratique) n'ont jamais été autant véhiculées par les médias et plus généralement au sein de la société qu'aujourd'hui. Il vous incombait, chers boomers, d'offrir de l'espoir et belles perspectives à vos enfants. Où sont-ils? Aujourd'hui, vous leur offrez juste la perspective d'une troisième guerre mondiale avec votre pensée régressive et binaire. Vous avez gravement failli. Plutôt qu'ironiser sur le mal-être de la jeunesse, vous devriez commencer à faire votre auto-critique.
Secouez-vous les puces au lieu de vous lamenter et vous irez peut-être mieux. Quand vous aurez fait le quart de la moitié de ce que les "boomers" (comme vous les appelez si délicatement) ont fait pour vous permettre de glander, on verra. Un regret certainement en effet : ne pas vous avoir botté les fesses à temps ...
Demandez aux personnes de 50 ans et plus, pas un seul ne voudrait vivre sa jeunesse en 2023. Force est de constater que les perspectives ne sont pas réjouissantes.
J'ai 66 ans et depuis que je suis à peu près capable de comprendre "les choses" (le début des années '70), un mot est revenu et revient en boucle : la crise, la crise, la crise. Depuis ce moment, on n'espère plus qu'une chose : que demain ne soit pas pire qu'aujourd'hui. C'est dans ce climat et pas un autre qu'il a quand-même fallu avancer. Alors, les perspectives sont ce qu'elles sont. Elles n'ont jamais été différentes. Il faut faire avec parce qu'il n'y a pas le choix. Mon cher "Jef Jef", c'est de vous que ça dépend maintenant. Pas la peine de vous faire des illusions sur un soi-disant passé où tout aurait été plus facile.