Les 48h chrono de Zelensky en Europe: argent, armes, no bla-bla
Le président ukrainien n’est pas venu en terre européenne pour une visite de courtoisie ou diplomatique, mais très pragmatiquement pour obtenir une aide accrue.


Il y a quasiment un an, l’offensive russe venait d’être lancée en Ukraine et, depuis son bunker, le président Zelensky, entré en résistance, avait lancé aux dirigeants européens réunis que c’était peut-être la dernière fois qu’il leur parlait.
C’est dire la très forte symbolique de la visite en chair et en os sur le sol européen d’un homme – toujours vivant – qui, depuis l’invasion russe, n’a cessé d’organiser la riposte sur le terrain et de solliciter la solidarité, l’aide financière et militaire du monde entier pour tenir bon et vaincre Poutine.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
Ce n'est certes pas une visite de courtoisie mais il n'obtiendra rien d'autres que ce qui lui a été promis. L'adhésion à l'UE est un marathon, non un sprint. Quant à la livraison d' avions de combat, elle n'est pas à l'ordre du jour. La Pologne est un très mauvais élève de l'Europe sur le plan économique (refus de passer à l'euro) et sur le plan éthique ( non respect de l'indépendance des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire). Alors, qu'elle gueule à l'OTAN mais pas à l'Europe !
Ici aussi, ça caquète ferme.
L' axe Washington - Londres - Varsovie (les ultras bigo-conservateurs du gouvernement polonais ont trouvés ici l'occasion rêvée de se refaire une virginité) et Kiev le laquais des intèrets américains Et tout cela en partie grâce à l'aide empressée des 3 clowns l'arriviste Charles Michel, l'idiote de service utile Ursula Van Der Leyen et le vieux franquiste belliqueux de 78 printemps Joseph Borrell