Quand l'orgasme est une affaire de... cerveau
Bon à savoir à la Saint-Valentin : c’est le cerveau qui est à la manœuvre dans le sentiment amoureux, mais également lors de l’acte sexuel. C’est aussi lui qui gère les cœurs brisés, comme l’explique la psychologue Anaïs Roux dans son livre « Neurosapiens ».


L’amour, l’amour, l’amour, dont on parle toujours… » Comme le fredonnait Mouloudji, l’énigme du désir et de l’attachement fait couler l’encre (de tes yeux) depuis la nuit des temps. Vaste sujet s’il en est, qui inspire poètes et philosophes… mais passionne aussi, depuis quelques années, les neuroscientifiques.
A la Saint-Valentin, les vitrines se parent de cœurs pour appâter le chaland. A en croire la science, il serait plus exact de les décorer de cerveaux, car c’est de là que tout part, ou quasi. Dans son livre Neurosapiens et son podcast éponyme qui comptabilise plus d’un million d’écoutes, la psychologue Anaïs Roux se fixe pour objectif de rendre les neurosciences accessibles au grand public.

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Affaire de cerveau? Pauvre Annie.
"Cela étant, l’orgasme féminin reste un mystère quasi total par rapport aux théories de l’évolution, parce qu’il n’est pas nécessaire à la reproduction. " Bah, si la femme n'avait jamais envie de faire l'amour, ça n'aidera pas non plus à la reproduction.