Enseignement supérieur: «Pour les feedbacks, tout est dans la manière»
Caroline Dozot et Marc Romainville se sont penchés sur la manière de rendre plus efficaces les feedbacks décernés aux étudiants. Ou quand l’estime de soi et la gestion des émotions en disent davantage qu’une cotation chiffrée.


Ce sont les étudiants qui en ont le plus besoin qui participent le moins aux activités de promotion de la réussite… Et vice versa… Quoique parfois caricaturales, ces affirmations trouvent beaucoup d’écho dans les universités et hautes écoles. Particulièrement en cette période où les jeunes reçoivent les résultats de leur session de janvier. Une claque pour certains… qu’ils peuvent adoucir en profitant des activités de remédiation proposées par leur institution. Pourquoi des étudiants se mettent-ils la tête dans le sable. Caroline Dozot (UNamur), docteur en psychologie et sciences de l’éducation, en a fait le cœur de sa thèse de doctorat sous la supervision du professeur Marc Romainville (UNamur). Cette recherche vient de faire l’objet d’une publication dans la revue Carrefours de l’éducation (1) sous le titre « Rôle de l’estime de soi et des émotions dans le traitement des feedbacks ».

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Bla- bla de psycho-pédagogues ! Une note séche et la moyenne de la classe donnent toutes les info nécessaires.