Thomas De Gendt: «Arnaud De Lie me rappelle le jeune Peter Sagan»
Véritable philosophe du peloton, le Belge vient d’entamer sa quinzième année chez les professionnels. Vainqueur sur les trois Grands Tours, spécialiste de la fugue, le baroudeur de Lotto-Dstny, trente-six ans, ne se voit désormais plus comme « le roi de l’échappée »

Thomas, en quinze ans de carrière, c’est la première fois que vous venez à Oman. Pourquoi ?
D’habitude, je débute au Tour Down Under, en Australie, mais l’équipe n’y est pas allée cette fois. Et puis, j’essaye de rouler dans différents pays. L’année dernière, j’ai par exemple disputé le Langkawi, en Malaisie. Il m’en manque encore énormément. Si j’ai l’occasion d’en ajouter un autre à la liste, je le fais. Quand vous êtes cycliste, vous devez courir mais vous voyagez gratuitement. Vous voyez du monde, des paysages, des régions, d’autres cultures que beaucoup d’autres personnes doivent payer pour découvrir. Nous, on a la chance de le faire gratuitement, donc pourquoi pas. Tant que ça n’entrave pas les grands objectifs…
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