Valérie Glatigny: «Le secteur souhaite comme moi y arriver»
En dehors des semaines de cours obligatoires, la ministre de l’Enseignement supérieur veut laisser de la souplesse d’organisation aux universités, en concertation avec les conseils étudiants.


Pour la ministre de l’Enseignement supérieur Valérie Glatigny (MR), le changement des rythmes académiques n’a du sens que dans le contexte d’autres réformes autour du décret Paysage.
Ce projet de calendrier est-il en phase avec l’aide à la réussite ?
Nous sommes partis du constat que les aides à la réussite ne vont pas toujours aux étudiants qui en ont le plus besoin. On a donc prévu des contraintes dans la réforme du décret Paysage. Par exemple, des étudiants qui ont réussi moins de 30 crédits devront obligatoirement inscrire à leur programme des modules d’aides à la réussite. Le troisième quadrimestre – à partir de la mi-mai – y sera consacré afin de soutenir les étudiants à l’aube de leur seconde session.
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