Lucas Dragone: «Maintenant, on va enfin parler de mon père en tant qu’artiste»
Le fils de Franco Dragone et son avocate reviennent sur les dix ans d’enquête qui ont « broyé » le metteur en scène, mort avant que son innocence, qu’il revendiquait, ne soit actée.

La chambre du conseil de Mons a rendu le mois dernier, après 10 ans d’enquête, une ordonnance de non-lieu dans le dossier à l’encontre de Franco Dragone et de 41 autres inculpés. La « lecture objective » des pièces, a conclu cette juridiction d’instruction, « ne permet pas de considérer qu’il existe des charges suffisantes en ce qui concerne la thèse défendue par le ministère public ». Le sexagénaire, estiment ses proches, a été abimé, à petit feu, par l’enquête. Il n’a pas pu goûter à cette issue judiciaire favorable, qui l’a blanchi post-mortem. Entretien entre amertume et soulagement avec son avocate, Michèle Hirsch, et son fils, Lucas Dragone.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
Merci pour toutes ces explications. Remarquons que ce manque de respect de la présomption d'innocence dans les media est flagrante en ce qui concerne Marc Tarabella !
Sentiment que LS qui a participé au lynchage se dédouane à bon compte. Après avoir minimisé une ordonnance de non-lieu assassine pour la presse (petite note de Belga en page 14!).
Bel article, beaux éclairages sur les mécanismes de la justice, de la procédure, et sur la place des médias.