Le cancer de l’ovaire, le «tueur silencieux»

S’il constitue une pathologie rare – environ 750 à 800 cas par an en Belgique –, le cancer de l’ovaire présente néanmoins une mortalité élevée. Maladie dont les causes sont peu connues, « la problématique principale du cancer de l’ovaire réside dans le fait qu’il n’existe actuellement aucun dépistage efficace », explique le Dr. Mathieu Luyckx, gynéco-oncologue aux Cliniques Universitaires Saint-Luc. Un constat qui se traduit en chiffre puisque 80 % des patientes sont diagnostiquées à un stade avancé. La raison ? L’absence de symptômes dans les premières phases de développement de la maladie.

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