«On prend enfin conscience sérieusement des excès de l’éducation bienveillante»
L’éducation bienveillante telle qu’on la pratique aujourd’hui ? Une fumisterie aux yeux de Caroline Goldman, psychologue pour enfants et adolescents. Dans un livre percutant, elle appelle à reposer les limites.
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Ne la réduisez pas au rôle de nouvelle Mère Fouettarde : elle déteste ça. N’empêche, depuis cet automne 2022, la psychologue parisienne Caroline Goldman a conquis la sphère médiatique en prônant davantage de sévérité et d’autorité dans l’éducation des enfants. Via un podcast, rapidement devenu l’un des plus écoutés en France, puis par un livre intitulé File dans ta chambre ! Offrez des limites éducatives à vos enfants (en réimpression), cette docteure en psychopathologie clinique, enseignante d’université et fille du chanteur superstar Jean-Jacques Goldman, part en croisade contre la mode de l’éducation bienveillante (ou positive) qui semble devenue la norme. Interview d’une experte qui assume de nager à contre-courant…
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir23 Commentaires
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Posté par D L, mardi 14 mars 2023, 9:31
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Posté par Lhermitte Jean-Yves , vendredi 3 mars 2023, 10:24
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Posté par Valassidis Dimitra , dimanche 19 février 2023, 14:21
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Posté par Moriaux Raymond, dimanche 19 février 2023, 14:35
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Posté par pevenage yvan, dimanche 19 février 2023, 8:37
Plus de commentairesJe viens de lire avec retard cet excellent entretien qui remet à leur place des éducateurs bisous nounours qui sont en train de détruire le futur de notre société : nos enfants. L'éducation des enfants demande de leur fixer des limites et de les sanctionner de manière proportionnelle. La gifle, la punition, la privation, le coin ou la chambre sont de bons outils et doivent continuer à être utilisés.
A moins du retour de l autocratie en Europe, l éducation bienveillante restera la norme pour de nombreuses raisons que je ne développerai pas ici. Sauf une, notre société occidentale souhaite laisser l auto détermination du sexe ressenti au choix de l enfant ( ce qui est logique ) mais qui dans les faits laissent une liberté énorme a l enfant passer la prime enfance.
Enfin , quelqu'un qui osé dire l'essentiel. Cette soit disant bienveillance à déjà pollué la jeune génération des 16-25 ans, comment y remédier ?
On peut y ajouter la génération précédente, hélas. Ce qui complique d'autant la réparation de ces approximations pédagogiques liées à une tendance générale, très à la mode à un moment donné, de "décontraction" tous azimuts.
Enfin! Il était temps!