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Sur le fil, le prêt-à-porter doit se réinventer

La mode broie du noir après des soldes plombés par l’inflation. Mais le malaise est plus profond. E-commerce, seconde main et durabilité l’ont déstabilisée. Il est temps pour elle de se repenser.

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Journaliste au service Economie Temps de lecture: 6 min

Pimkie, Camaïeu, Kookaï, Go Sport… En France, ces dernières semaines, une série d’enseignes de prêt-à-porter ont rendu l’âme ou ont déclaré une pathologie grave, comprenez un redressement judiciaire. Et en Belgique, comme se porte le patient ? La mode n’a plus connu de disparitions retentissantes d’enseignes bien connues depuis Brantano et Camaïeu en 2020. Et les indicateurs sur l’état de santé du secteur sont plutôt rassurants. De 207 faillites en 2019, le commerce d’habillement est passé à 123 cas l’an dernier, selon Statbel. Les pertes d’emplois restent elles aussi modérées : 250 l’an passé, contre 710 en 2019 et même 1.148 en 2020 (sûrement un effet de la crise sanitaire). Quant au chiffre d’affaires global du commerce de l’habillement, il a retrouvé et même dépassé son niveau d’avant covid durant les 2e et 3e trimestres 2022.

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