Le pire n’est pas nécessairement toujours à craindre
Avec les indexations et les aides gouvernementales, les ménages belges ont retrouvé un meilleur niveau de vie.


Le pire n’est pas une situation à subir pour l’éternité : primo parce qu’il ne dure pas toujours, et secundo parce que nous pouvons lutter contre lui ou l’empêcher de s’éterniser. Cet adage positif n’est pas le fait de tempéraments positifs ou naïfs, mais se vérifie sous nos yeux quand on suit l’impact de la crise énergétique née notamment de la guerre en Ukraine.
En septembre dernier, la rentrée s’était faite sous le coup d’une angoisse majeure pour la plupart des agents économiques et sociaux : l’explosion des prix énergétiques, couplée à l’arrivée de l’hiver avait de quoi mettre à genoux salariés, pensionnés, allocataires sociaux, indépendants et entreprises de toutes tailles. Chacun recevait soudain des factures hallucinantes de gaz et d’électricité. Pour beaucoup, c’était soit l’incapacité de payer, soit la nécessité de couper dans les dépenses tous azimuts.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir4 Commentaires
Le pire est toujours à craindre, même s'il ne se réalise pas. Et de même, le meilleur est toujours à espérer, même s'il ne se réalise pas non plus. Mais une prévision raisonnable se situera toujours quelque part entre les deux.
Un optimisme béat ? Bien sûr, tous ceux qui s'en sortent ou s'en sont sortis peuvent momentanément se réjouir. Pensons à ceux qui ont fermé boutique en perdant toit, ceux qui ont vu leur épargne fondre comme neige au soleil, ceux qui doivent renoncer à l'idée de devenir un jour petit propriétaire de leur logement, etc.. Un peu de retenue serait la bienvenue.
Optimist, tot in de kist
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