Le personnel de la Stib se prononce contre le port des signes convictionnels au travail (infographies)
Les agents de l’entreprise bruxelloise de transports publics ont exprimé, à travers une enquête interne, « un besoin de protection et de mesures contre les discriminations et le prosélytisme ».


A peine la moitié du personnel de la Stib se sentirait à l’aise si un collègue portait des signes convictionnels, et une très large majorité des agents préféreraient qu’ils ne soient pas portés au travail. Les résultats d’une enquête interne à l’entreprise bruxelloise de transports publics sont interpellants. Et vont à rebours de la décision du gouvernement bruxellois.
Pour rappel, la Stib avait été condamnée par une ordonnance du 3 mai 2021 du tribunal du travail pour discrimination à l’embauche à l’égard d’une candidate portant un voile pour des raisons religieuses. Le gouvernement bruxellois avait, dans la foulée, confirmé la décision de la Stib de ne pas faire appel, et précisé que l’interdiction des signes convictionnels était la règle pour le personnel de la Stib, et que des dérogations pourront être mises en place pour les fonctions qui ne relèvent pas d’une fonction d’autorité ou qui ne sont pas en contact relationnel avec le public.

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