Attaque dans un Thalys: quelles mesures pour réduire le risque terroriste?
Vendredi 21 août, une tentative d’attentat a été déjouée dans un Thalys reliant Amsterdam à Paris. Le tireur déclare ne pas être un terroriste, et ne serait qu’un SDF un peu perdu. L’incident a soulevé des critiques face au manque de sécurité ressenti, dans le train, et dans les lieux publics en général.


Les politiques en France et en Belgique pensent déjà à la mise en place de certaines mesures telles que des contrôles aléatoires. Certains évoquent même la nécessité de fermer l’espace Schengen. Peut-on augmenter la sécurité sans porter atteinte à nos libertés ?
Politique : comment répliquer à la menace
La fusillade du Thalys a précipité la rentrée du gouvernement. Quelques heures après les faits, le Premier ministre convoquait un Conseil national de sécurité auquel assistaient outre ses vice-Premiers et les ministres concernés (Jacqueline Galant pour la Mobilité et Koen Geens pour la Justice) les responsables du Comité stratégique du Renseignement et de la Sécurité. Le gouvernement a décidé d’intensifier les patrouilles mixtes franco-belges dans les Thalys et de renforcer le contrôle des identités et des bagages.

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