Brexit: le gouvernement britannique exclut un second référendum
Le gouvernement britannique a répondu samedi au plus de quatre millions de citoyens qui ont signé une pétition pour appeler à l’organisation d’un second référendum après celui du 23 juin.

Le gouvernement britannique a répondu samedi au plus de quatre millions de citoyens qui ont signé une pétition pour appeler à l’organisation d’un second référendum après celui du 23 juin, en leur signifiant qu’il n’y aurait pas de second vote.
Chaque signataire de la pétition a reçu un email signé par le ministère des Affaires étrangères et dans lequel on peut lire que «le gouvernement a répondu à la pétition que vous avez signée».
Réponse à la pétition
Cette pétition appelait «le gouvernement à appliquer une règle qui veut que si un vote en faveur du maintien ou de la sortie (de l’UE) est basé sur moins de 60% des votants avec un taux de participation inférieur à 75%, alors il doit y avoir un autre référendum».

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
Bien sur que point de vue correction ils sont les champions,tous ceux qui on declancher,ce Brexit demissionnent,pour ce qui est de prendre leurs responsabilite la oui chapeau.
On doit bien reconnaître là , la correction britannique, loin très loin de nos turpitudes et arrangements continentaux. Dans le cas présent, c'est EUX qui se battent pour l'honneur et NOUS pour le pognon, le show et les affaires. Bravo, Messieurs (et Mesdames) les anglais et merci de rester digne, ce que nous avons désappris depuis longtemps.
Où est la correction, l'honnêteté? Quand on ment pour avoir les suffrages (voir Farge et les rétrocessions vers le NHS) tout en ne croyant pas en la victoire mais dans le seul but de déstabiliser le gouvernement, y a-t-il de quoi être fier. Quant à la suite, vous verrez les Britanniques s'attarder longtemps avant de conclure le divorce. Leur présence dans l'Union n'était que pour empêcher celle-ci de se fédéraliser; le commerce: Oui! L'intégration du social, de la politique, Non!