La dysmorphophobie accentuée à cause du confinement

Dans leur livre Génération Bistouri , les journalistes Elsa Mari et Ariane Riou attribuent l’engouement pour les actes esthétiques non seulement aux diktats des réseaux sociaux, mais aussi au confinement : les écrans démultipliés par les réunions Zoom ont accentué ce qu’on appelle la dysmorphophobie, un trouble qui se caractérise par un décalage entre la manière dont on se perçoit et la réalité.
Les chiffres des recettes de l’IMCAS au niveau mondial confirment leur analyse : si les produits vendus par les laboratoires aux professionnels ont reculé de 7 % en 2020, ils ont fait un bond de 26 % avec la réouverture des cabinets en 2021.

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