«Je suis contraint de travailler avec des sous-traitants étrangers»
Entrepreneur depuis 30 ans, Alain n’a pas les moyens d’engager des ouvriers belges. Selon lui, tout est fait pour inciter à la fraude sociale. Portrait.

Sur leur chantier de Gembloux, Alain et ses hommes profitent enfin de l’arrivée de le soleil pour avancer dans la rénovation de la façade d’une villa. La météo de ces dernières semaines les a contraints à accumuler les retards. Il est donc temps d’essayer de le résorber car le boulot les attend encore ailleurs. Depuis une petite trentaine d’années, l’entrepreneur du Brabant wallon s’est spécialisé dans la rénovation. Maçonnerie, plafonnage, pose de carrelage, de parquet, installations électriques ou encore de plomberie, l’homme et son équipe touchent à tout. Mais depuis quelques années, l’élan s’est un peu brisé suite à l’arrivée massive de travailleurs d’Europe de l’Est.

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