Une visite compliquée pour Emmanuel Macron à Kinshasa
Le président français sera écartelé entre son ami rwandais Kagame et ses hôtes congolais.


Gabon, Angola, Brazzaville… Pour les premières étapes de son périple africain, Emmanuel Macron n’a pas pris de risques, il a conforté les « valeurs sûres » : à Libreville, Ali Bongo est le digne descendant de la dynastie Bongo, en Angola, Joao Lourenço, réformateur sans doute, est aussi l’héritier du MLPA, un parti au pouvoir en Angola depuis 1975, et à Brazzaville, le président français a retrouvé l’inamovible « parrain » Denis Sassou Nguesso, en place depuis 1979. Tous de « vieux amis » de la France qui écouteront poliment son discours sur le partenariat économique ou la reconfiguration (c’est-à-dire le relatif recul) de l’engagement militaire français…

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
cela lui arrive t-il un jour de s'occuper des problèmes intérieurs des français, au lieu de jouer au pigeon voyageur permanent !
@Patric Stun : la belle époque coloniale! L'attitude paternaliste de Macron sur la photo est plus parlante que n'importe quel discours.
La même question peut être posée au sujet des pays occidentaux en général qui s’érigent en donneurs de leçons de la planète