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En Haïti, une «guerre qui ne dit pas son nom» qui tue, affame et viole les civils

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Ce qui se passe en Haïti s’apparente à une guerre qui ne dit pas son nom », décode Frédéric Thomas, chargé d’études au Cetri et spécialiste de Haïti. « Une guerre contre la population, avec un haut niveau d’enlèvements accompagné de viols systématiques et d’homicides, qui n’a cessé de grimper en intensité. »

Fin janvier, la Représentante spéciale du Secrétaire général de l’ONU pour Haïti, Helen La Lime avait expliqué que la violence des gangs a atteint l’an dernier « des niveaux jamais vus depuis des décennies » : 1.359 enlèvements, soit plus du double qu’en 2021. Et au moins 2.183 « meurtres délibérés d’hommes, de femmes et d’enfants par des tireurs embusqués sur les toits, ainsi que de nombreux viols de femmes et même d’enfants d’à peine 10 ans », comme tactique pour répandre la peur et détruire le tissu social de communautés contrôlées par des gangs rivaux.

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