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Bouli Lanners triplement sacré aux Magritte: «Je n’ai pas envie d’être le mec qui fait le film de trop»

Trois Magritte, qui s’ajoutent aux six déjà reçus par le passé : Bouli Lanners est un des grands talents reconnus du cinéma belge. Mais aujourd’hui, il remet sa carrière en perspective, se tournant plus vers l’écriture, un projet de théâtre de marionnettes et le jeu, que vers la réalisation.

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 5 min

Après l’effervescence de la salle, celle des photographes qui l’attendaient depuis de longues minutes en salle de presse. Une semaine après son César, Bouli Lanners est en effet un des grands vainqueurs de cette 12e cérémonie des Magritte. Non seulement en tant qu’acteur (toujours pour La nuit du 12, comme aux César – mais cette fois en tant que rôle principal et pas en tant que second rôle, petite « anomalie » belge, dira-t-on) mais aussi en tant que réalisateur pour Nobody has to Know, son cinquième film (Meilleur film et meilleure réalisation).

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