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Catherine Ringer: «Mon père était curieux comme un grand esprit de la Renaissance»

La chanteuse Catherine Ringer met aux enchères une centaine d’œuvres de son père, le peintre français Sam Ringer. Elles s’exposent cette semaine à Bruxelles chez Bonhams Cornette de Saint Cyr.

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 5 min

Un inventif, un ingénieux, un touche-à-tout, peintre, sculpteur, graveur, né de père inconnu en Pologne en 1918, élevé par sa grand-mère, étudiant aux Beaux-Arts de Cracovie, happé par les nazis, rescapé de neuf camps de concentration – Auschwitz, Gross-Rosen, Buchenwald, Theresienstadt… –, malade, débarque à Montmartre, pauvre, réfugié, peint sur de la toile à matelas, rencontre Jeannine, l’épouse, ont deux enfants, dont l’une s’appelle Catherine.

Du Zola. Pure souche. Et pourtant, « cette histoire dramatique, ce n’est pas ce qu’on voit dans sa peinture, au contraire, explique la chanteuse Catherine Ringer. Il a encensé la vie, les couleurs et m’a transmis sa force. »

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