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Le sans-alcool, nouveau territoire pour les amateurs de bières

Une levure permet désormais aux brasseries non industrielles de bousculer le marché en y apportant plus de goûts et de diversité.

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Depuis cinq ou six ans, le marché de la bière sans alcool vit une petite révolution. L’arrivée d’une nouvelle levure donne la possibilité aux brasseries artisanales de bousculer dans ce domaine les grands producteurs industriels. Avec, comme principal effet, l’arrivée de bières aux saveurs franches et à l’amertume gourmande.

« Jusque-là, les bières sans alcool étaient essentiellement des lagers fadasses destinées à un public qui, pour des raisons de santé, ne pouvait plus en boire de traditionnelles », explique Yan Amstein, patron de l’entreprise romande qui porte son nom. « Aujourd’hui, ce sont des bières de spécialité. »

Pour les produire, il n’existait que deux méthodes, qui demandaient de lourds investissements. Elles consistaient toutes deux à produire une bière traditionnelle, puis à en ôter l’alcool, soit par une distillation sous vide et à basse température, soit avec un filtre très fin piégeant les molécules d’éthanols.

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