Réduire sa consommation d’aliments transformés diminue de 4% le risque de cancer
Cette étude menée dans 23 pays européens durant dix ans confirme les doutes qui subsistent depuis longtemps sur la dangerosité de la nourriture ultra-transformée.


Si les causes du cancer peuvent avoir des origines diverses et sont souvent multifactorielles, plusieurs risques ont été identifiés avec le temps : l’obésité, la sédentarité ou encore la génétique. Le mode de vie et plus particulièrement l’alimentation sont également pointés du doigt par les scientifiques qui peinent toutefois à en démontrer le lien. L’étude menée par le centre international de recherche sur le cancer (CIRC) qui vient d’être publiée dans la revue The Lancet Planetary Health, par sa longévité (elle a duré dix ans, entre 1991 et 2001) et son ampleur (450.000 personnes suivies dans 23 pays européens) apporte une preuve supplémentaire et solide aux soupçons des scientifiques.

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