Migration: comme quoi, en politique, quand on veut, on peut
L’accord sur l’asile et la migration conclu par la Vivaldi dans la nuit de mercredi à jeudi est d’abord et avant tout à saluer par son existence. Même s’il ne résout pas la crise de l’accueil et ne fait que l’endiguer.


Un petit miracle ! Oui, c’est un petit miracle. L’accord sur l’asile et la migration conclu par la Vivaldi dans la nuit de mercredi à jeudi est d’abord et avant tout à saluer par son existence. Dans un Etat condamné des milliers de fois pour non-respect du droit belge et européen, dans une Belgique où des milliers de demandeurs d’asile vivent depuis des mois et souvent des années dans l’incertitude, la précarité et le chaos – quand ce n’était pas, pour des centaines d’entre eux, dans des conditions innommables (squats, tentes) –, eh bien, oui, un accord est un réel soulagement. Et un succès.
Comme quoi, en politique, et aussi en Belgique, quand on veut, on peut.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
Force est de reconnaître que le " sparadrats " n'a pas tenu longtemps !!!!
Force est de reconnaître que le " sparadrats " n'a pas tenu longtemps !!!!
Rien qu'un peu de sparadrap sur une plaie ouverte.