Accueil Économie Entrepreneuriat

Devenir tatoueuse, un rêve trop longtemps reporté

D’origine haïtienne, Florence vit en Belgique depuis son plus jeune âge. Ce qui ne l’a pas empêchée de galérer pour obtenir un prêt de 3.000 euros à la banque, victime d’un « cliché », dit-elle. Elle s’épanouit désormais en créant ses tatouages, donnant vie à sa passion pour le dessin.

Article réservé aux abonnés
Journaliste au service Economie Temps de lecture: 3 min

Obtenir du financement : la clé de tout projet entrepreneurial, même si la somme à mobiliser n’est pas nécessairement importante. En l’espèce, Florence Vueghs n’avait besoin que de 3.000 euros pour lancer son salon de tatouage. « Mais j’ai rapidement compris, en me rendant à la banque, que ce ne serait pas facile », dit-elle. « Il y a des clichés qui ont la vie dure. »

Le cliché, en l’espèce, est à ses yeux celui de la couleur de peau. « J’ai été adoptée toute jeune, mon nom de famille est 100 % belge, mais je ne peux évidemment pas cacher mes origines haïtiennes », dit-elle. « Or, c’est bel et bien sur cette base qu’on me posait des questions relatives par exemple… à ma connaissance du français, alors que je vivais en Belgique depuis près de 40 ans. »

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Entrepreneuriat

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs