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Laïla Amezian: «La transe, une manière d’exulter et de se libérer»

Avec « Sheikhs Shikhats & B’net Chaabi », Laïla Amezian rend un hommage grisant aux femmes qui ont combattu pour leur liberté au Maroc du XIXe siècle.

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Responsable des "Livres du Soir" Temps de lecture: 5 min

Laïla Amezian chante. Elle chante depuis longtemps, d’une voix un peu troublante. Avec DJ Grazzhoppa, Erwin Vann, Oblomow, Jaune Toujours, Arabanda, avec Triode, avec Laurent Blondiau. Aujourd’hui, elle est leader d’un fameux groupe de 17 musiciens, où elle tente (et réussit) de redonner une nouvelle vie aux chants chaabi qui accompagnent régulièrement les fêtes au Maroc : Sheikhs Shikhats & B’net Chaabi. Un mélange joyeux et exubérant de cette musique de revendication des femmes d’il y a plus d’un siècle et de jazz cuivré. Rencontre avec la Belgo-Marocaine.

D’où vient cette idée de Sheikhs Shikhats ?

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