Entreprendre en Belgique: un défi d’autant plus grand quand on est d’origine étrangère
Le vivier des entrepreneurs qui s’activent dans notre pays comporte des dizaines de milliers de personnes qui n’y sont pas nées. Et qui ont souvent dû batailler ferme pour y développer leur activité.


Ils ou elles sont des dizaines de milliers à s’activer dans notre économie. Ils ou elles sont ces indépendants qualifiés « d’origine étrangère », au sens où ils ne sont pas nés en Belgique de parents de nationalité belge. Selon la dernière étude du SPF Economie s’intéressant au sujet (« Entrepreneuriat et diversité : une étude sur l’origine des travailleurs indépendants en Belgique »), ils ou elles représentent quelque 23,5 % du total des indépendants actifs dans notre pays, soit plus de 200.000 personnes.
Parmi celles-ci, un grand nombre provient des pays de l’Union européenne (62 %) et ne rencontre vraisemblablement pas trop de problèmes pour lancer leur activité, si ce n’est ceux rencontrés classiquement par tout candidat à l’entrepreneuriat. Mais qu’en est-il des autres, issus quant à eux du Maghreb, d’Afrique subsaharienne ou d’Asie, notamment ?

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