Francesco Lanzillotta pour «Bastarda»: «On ne doit pas voir la musique comme une chose sacrée»
Temps fort de la saison de La Monnaie, « Bastarda » invite à penser à la manière dont on crée un opéra contemporain… en se basant sur des œuvres préexistantes. Une proposition qui ouvre la porte à un tas de possibilités pour réinventer le genre.


Né à Florence à l’aube du XVIIe siècle, l’opéra est un genre chargé de traditions, fait d’œuvres et d’airs emblématiques que tout le monde a dans la tête ou presque, comme ceux extraits de Carmen de Bizet (l’habanera), de Rigoletto de Verdi (« La donna è mobile ») ou de Norma de Bellini (« Casta Diva » magnifié par la Callas). Mais c’est aussi un art perçu comme élitiste et poussiéreux, dont certains se sentent désormais très éloignés. Et comment rectifier le tir pour le présenter sous un prisme nouveau, le faire exister aujourd’hui sous différentes formes qui, sans renier la tradition ou la balayer d’un revers de main, pourraient créer de nouveaux imaginaires ?

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