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Désormais, quand il y a une grève, ça se sent

Partout en France, les poubelles s’accumulent depuis plus d’une semaine. Les éboueurs font grève contre la réforme des retraites. A cinq cents jours des JO de Paris, ça la fout mal.

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Envoyée permanente à Paris Temps de lecture: 3 min

Désormais, quand il y a une grève, ça ne se voit plus, fanfaronnait en 2008 Nicolas Sarkozy, pressé d’apparaître comme le grand réformateur Tagada sans peur et sans reproche, celui qui instaurerait un service minimum dans les transports. Quinze ans plus tard, quand il y a une grève, ça se sent…

A Paris comme au Havre et à Nantes, les poubelles s’accumulent depuis plus d’une semaine dans une atmosphère qui ne rappelle en rien le Chanel numéro 5 que prisent les visiteurs dans la ville la plus touristique du monde. Lundi, 5.600 tonnes d’ordures s’amoncelaient dans la capitale. Sous les plastiques, la rage. Celle des éboueurs, opposés à la réforme des retraites qui prévoit le report à 64 ans du départ à la pension. Et sur les trottoirs, la colère. Celle des habitants qui n’en peuvent plus.

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