Pour être «efficace», Meta licencie massivement
Mark Zuckerberg a annoncé une nouvelle vague de 10.000 licenciements. Au final, un employé de Meta sur quatre aura perdu son job, dans une Sillicon Valley de plus en plus plombée par la crise.


En 2017, selon le classement annuel établi par le site Glassdoor, l’entreprise la plus « cool » pour les cadres américains s’appelait Facebook. Depuis, elle s’appelle Meta, a mis le cap vers un incertain métaverse. Et tente de sortir indemne de la tempête inflationniste qui frappe l’ensemble des « big tech », couplée à une crise du marché publicitaire. La faillite de la Sillicon Valley Bank enfonce encore le clou : selon l’accélérateur de start-ups, Y Combinator, 10.000 petites entreprises pourraient ne pas être en mesure de payer leurs employés dans les trente prochains jours. Plus de 100.000 emplois seraient concernés dans le secteur d’innovation.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
« dans une Sillicon Valley de plus en plus plombée par la crise» … quel manque de discernement : mettre dans le même sac des entreprises fabricant des matériels, des logiciels vendus, et … les gestionnaires des réseaux dits «sociaux» qui auront toujours toutes les difficultés du monde à trouver un modèle économique ! D’où l’angoisse de Zuckerberg qui sait qua dans 10 ans Facebook aura disparu, et qu’il doit rapidement trouver un nouveau produit. Il a déjà trouvé un nom : «méta» mais pour le reste, je préférerais ne pas être à sa place ! Ah s’il avait vendu son barnum il y a 5 ans au lieu de se prendre pour Bill Gates ou Steve Jobs …