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Le marché immobilier est toujours en net refroidissement

Le marché immobilier a connu un fort ralentissement dans la seconde moitié de l’année 2022. Les notaires constatent que celui-ci s’est poursuivi durant les deux premiers mois de 2023.

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Journaliste en charge du Soir Immo Temps de lecture: 3 min

On le sait, le marché immobilier a poussé sur la pédale de frein en 2022, du moins durant la deuxième moitié de l’année, grosso modo après l’été. Plusieurs explications à cela. Les principales : la guerre en Ukraine, qui a entraîné une conjoncture énergétique catastrophique, les hausses des taux d’intérêt, l’augmentation du prix des matériaux…

Tout cela a fait que le Belge s’est quelque peu détourné de la brique, même s’il la garde encore au chaud dans un coin de son ventre. En réalité, les intentions d’achat/construction/rénovation ont été mises au frigo en attendant des jours meilleurs.

Aujourd’hui que constate-t-on ? Les prix de l’énergie ont baissé (et même fortement), les taux d’intérêt ne bougent plus beaucoup (les spécialistes disent qu’ils ne monteront plus, mais ils ne redescendront pas non plus) et certains matériaux coûtent moins cher (mais ce n’est pas le cas pour tous ceux qui servent à construire ou à rénover).

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