«Un ennemi du peuple»: la délicate position du lanceur d’alerte
Avec « Un ennemi du peuple » d’Ibsen, Thibaut Wenger aborde une nouvelle fois des thématiques très actuelles portées par une formidable équipe de comédiens.


Sophocle, Shakespeare et bien d’autres l’ont proclamé maintes fois : les porteurs de mauvaises nouvelles ne doivent s’attendre à aucune récompense. Souvent même, c’est à eux que l’on s’attaque plutôt qu’au mal qu’ils annoncent ou dénoncent. Ces dernières années, les lanceurs d’alerte en ont fait l’expérience à maintes reprises.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
'Car plutôt que de résoudre le problème (ce qui coûterait cher à la ville dans un premier temps), mieux vaut abattre le lanceur d’alerte et opérer quelques changements cosmétiques pour rassurer l’électeur.' Que de clairvoyance quand on voit notre monde actuel. Et à propos où en est la défense d'Assange ?