Mieux comprendre et soigner les patients épileptiques réfractaires
Un tiers des patients épileptiques ne répondent pas bien aux médicaments. Chez ces patients dits réfractaires, la stimulation du nerf vague peut avoir un effet antiépileptique. Mais ce traitement supplétif n’est pas toujours efficace. A Saint-Luc, des doctorants cherchent à comprendre pourquoi.


L’épilepsie est une maladie neurologique chronique dont les causes sont secondaires (suite à des lésions cérébrales) ou génétiques. S’il touche environ 1 % de la population et peut survenir à tout âge, le « grand mal » reste méconnu du grand public et charrie de nombreux préjugés. « Les gens associent souvent l’épilepsie à des crises tonico-cloniques (pertes de conscience et contractions musculaires), mais elle peut aussi se manifester par de petites crises. Ces a priori rendent la vie des personnes épileptiques encore plus compliquée », regrette la neurologue-chercheuse Riëm El Tahry (cliniques universitaires Saint-Luc).

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