Eve, Pandore, Yoko Ono… Marìa Hesse célèbre ces «mauvaises femmes», pas si mauvaises
Monica Lewinsky, Hélène de Troie ou encore la belle-mère de Cendrillon… L’autrice et illustratrice espagnole Marìa Hesse réhabilite « Ces mauvaises femmes ».


Folles, saintes, ou putes. Elle dit que, depuis l’apparition des premiers mythes, les femmes ont été rangées dans l’une de ces trois catégories. Que, d’Homère aux frères Grimm, les récits écrits par des hommes offrent une vision du monde où les femmes doivent être « pures, dociles et aimantes » face aux gorgones vengeresses, aux marâtres cruelles, aux Salomé perverses et aux Eve imprudentes « qui portent la culpabilité du destin des femmes ».
Marìa Hesse, illustratrice née en 1982 et sévillane d’adoption, après avoir publié des livres sur Frida Kahlo (traduit en 15 langues), Bowie, Marilyn ou le plaisir, a pensé qu’il était temps de se pencher sur Les mauvaises femmes. Son roman graphique offre un nouveau point de vue – teinté d’une point d’ironie – sur ces méchantes, réelles ou fictives, qui ont personnifié le mal à travers l’histoire.

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