Atenor a clôturé l’exercice 2022 sur une légère perte de 0,84 million d’euros
La guerre en Ukraine, la crise énergétique et le retour de l’inflation ont plongé les investisseurs dans un mode « wait and see ». Mais le promoteur belge reste optimiste.

Nous avions l’ambition de réaliser certains actifs, notamment en France et en Hongrie », commente Stephan Sonneville, CEO d’Atenor. « Cela n’a pas pu se concrétiser au cours des derniers mois de 2022. Ce n’est que partie remise. Nos résultats nets sont, comme annoncés, proches de l’équilibre. Un petit chouïa négatif ! » Cela n’empêche pas la société immobilière belge de maintenir sa politique de dividende attractif (2,67 €) par action (+5 %) et de proposer un dividende optionnel (paiement en action, NDLR).
Le portefeuille comprend 35 projets répartis dans dix pays, totalisant environ 1,3 million de m2. Si l’on prend en compte la répartition par m², il s’agit de 54 % de bureaux, 40 % de résidentiel et 6 % d’autres actifs (retail, hôtel, école…).
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