Attentats de Bruxelles: «On n’a pas su donner le soutien auquel les gens avaient droit», reconnaît Alexander De Croo
Ce mercredi, un moment officiel de recueillement organisé en mémoire des victimes des attentats commis sur le sol belge, a eu lieu à Bruxelles. Plusieurs personnalités politiques étaient présentes pour entourer les quelques victimes survivantes et leurs proches dont le le Premier ministre, Alexander De Croo.

Présent mercredi au moment officiel de recueillement organisé en mémoire des victimes des attentats commis sur le sol belge, dont ceux du 22 mars 2016, le Premier ministre Alexander De Croo s’est montré à l’écoute des souffrances des victimes. « On n’a pas su donner le support auquel les gens avaient droit », a-t-il reconnu, en écho aux nombreuses doléances que les victimes et leurs proches ont exprimé en ce sens ces derniers temps, notamment au procès des attentats.
Le procès en cours est un « élément important », a noté Alexander De Croo en ce septième anniversaire du funeste 22 mars 2016 et des attaques lors desquelles 32 personnes avaient perdu la vie et des centaines d’autres avaient été blessées. Mais le moment, très particulier, reste symbolique chaque année et il est important de se rappeler de ce qu’il s’est passé et de se souvenir des victimes et de leurs proches, a-t-il insisté.
Impréparation
Le jour des attentats, il y a sept ans, le pays n’était pas préparé à de telles attaques. « On a appris beaucoup de choses depuis lors et on est désormais mieux préparés à apporter une aide. Mais on espère naturellement que cela ne se reproduira jamais », a confié le Premier ministre à l’issue du moment de recueillement de mercredi.
« On continuera à venir en aide au maximum aux victimes, qui ne seront jamais oubliées », a encore assuré Alexander De Croo.
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Non, on n'a pas su donner le support indispensable aux victimes et à leurs proches. Mais cela n'engage pas De Croo, puisque le premier ministre à l'époque était Charles Michel, bien connu pour son empathie (;() Mais De Croo n'en n'a jamais tiré la moindre leçon, car le support indispensable n'a pas été donné non plus aux victimes et leurs proches lors des catastrophes plus récentes dont le covid et les innondations dans les Ardennes. Donc ses remords.... Qui peut y croire?