Réforme des retraites: Macron fait le pari de l’essoufflement de la contestation
Le président français ne confesse qu’une seule erreur : n’avoir pas su convaincre sur la nécessité de réformer les retraites. Il appelle à l’ordre et espère poursuivre son quinquennat sans être frappé par l’immobilisme.
Il ne fait pas cette réforme par plaisir mais parce qu’il ne pouvait pas laisser la poussière sous le tapis. « Ce n’était pas un luxe mais une nécessité. » Il en portera la responsabilité en endossant l’impopularité. « Entre les sondages de court terme et l’intérêt général, je choisis l’intérêt général. » Personne ne l’a aidé, ni les syndicats, ni l’opposition, qui ne lui ont pas proposé de formule alternative (sic). Et il n’a qu’un regret : celui de n’avoir pas su convaincre les Français de la nécessité de cette réforme.
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© Rossel & Cie - 2023
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir12 Commentaires
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Posté par Du Four Philippe, jeudi 23 mars 2023, 8:06
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Posté par Du Four Philippe, jeudi 23 mars 2023, 8:06
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Posté par Christian LAURENT, mercredi 22 mars 2023, 21:16
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Posté par Delpierre Bernard, jeudi 23 mars 2023, 13:16
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Posté par eric biltiau, mercredi 22 mars 2023, 21:02
Plus de commentairesMacron est au contraire très courageux. Il a fait ce qui est indispensable à faire pour éviter (peut-être) la faillite de l'état français. Est-ce si compliqué à comprendre? Et comme il l'a d'ailleurs bien souligné : il ne voulait pas faire - comme ces prédécesseurs - "laisser la poussière sous le tapis". Ce n'est pas Hollande (ni Sarko) qui aurait eu ce courage là. Et non, ce n'est pas la posture de Louis XIV, mais au contraire la posture du courageux qui tient la barque Française à lui tout seul, sans aucune aide de quiconque.
Macron est au contraire très courageux. Il a fait ce qui est indispensable à faire pour éviter (peut-être) la faillite de l'état français. Est-ce si compliqué à comprendre? Et comme il l'a d'ailleurs bien souligné : il ne voulait pas faire - comme ces prédécesseurs - "laisser la poussière sous le tapis". Ce n'est pas Hollande (ni Sarko) qui aurait eu ce courage là. Et non, ce n'est pas la posture de Louis XIV, mais au contraire la posture du courageux qui tient la barque Française à lui tout seul, sans aucune aide de quiconque.
Quelle arrogance, quel mépris! Ce président est définitivement illégitime, mal élu, mal entouré, mal conseillé!
Parce que se coucher devant la violence destructrice de biens publics est faire preuve de bon sens. C'est donc à juste titre que Victor Hugo a dit que la foule trahit souvent le peuple...
Pour la réforme des pensions, Macron a fait ce qui était indispensable de faire : la faire passer pour éviter la faillite du système.