Le poke bowl, la nouvelle coqueluche du fast-good
En ville, les enseignes qui proposent des poke bowls se multiplient. Ils doivent leur succès avant tout à leur aspect complètement personnalisable, mais également à une tendance grandissante du « bien manger ».

Un sushi décomposé dans un bol. C’est la meilleure façon de définir, en trois mots, le poke bowl. Le concept remporte un succès grandissant dans les villes, au point qu’on voit fleurir un peu partout de nouvelles chaînes ou enseignes indépendantes. Si la génération ’90 pourrait croire que le nom du poke bowl est une référence à la « poké ball », élément incontournable d’un jeu vidéo à succès de leur enfance, il n’en est rien. C’est de la langue hawaïenne, d’où le plat est originaire, qu’il tire son nom. En hawaïen, on utilise le mot po.ke pour parler de morceaux coupés. Les pêcheurs de l’île mangeaient des dés de poisson cru, simplement servis avec du sel de mer et des algues. Dans sa version originelle, on peut le comparer à sa version occidentale, le tartare de poisson. Ce n’est que dans les années 2010 que l’Amérique et l’Asie se sont emparés du concept et y ont ajouté sa base de riz vinaigré et une multitude d’autres ingrédients frais : avocat, champignons, oignons frits, concombre, ananas…
Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire