Accueil Société Enseignement

Deux masters en médecine et une sortie de crise pour la Communauté française

Suite et, très certainement, fin du dossier des masters en médecine. Le gouvernement a tranché : l’UMons aura son master… sous certaines conditions. Au sein des partis de la majorité, chacun célèbre la victoire face à son adversaire.

Article réservé aux abonnés
Temps de lecture: 6 min

La nouvelle est tombée ce samedi, aux alentours de 20h, après des semaines de guerre ouverte entre les partis de la majorité gouvernementale PS-MR-Ecolo et de négociations, en coulisses cette fois, avec les ministres de cette même majorité. Résultat des courses, il y aura bien deux nouveaux masters en médecine sur le territoire de la Communauté française. L’un à l’Université de Mons. L’autre, en médecine générale, à l’Université de Namur. « Tout ça pour ça », diront certains. Oui et non…

Cet article est réservé aux abonnés

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

8 Commentaires

  • Posté par eric biltiau, lundi 27 mars 2023, 9:31

    "Une étude indépendante sera chargée d’analyser l’existence d’un lien entre la création d’un master et l’installation de médecins généralistes en zone en pénurie." Voila pourquoi c'est devenu un bon accord.

  • Posté par Moriaux Raymond, lundi 27 mars 2023, 11:01

    Sans compter ce qu'elle va coûter, cette "étude indépendante" ...

  • Posté par Moriaux Raymond, lundi 27 mars 2023, 10:58

    Dupont. On est d'accord. Il faudra (en effet !) au moins 10 ans pour avoir un semblant de conclusions robustes. Tout le monde le sait mais fait semblant de l'ignorer. Enfin, je l'espère pour le niveau d'intelligence de ceux qui ont pris ce "bel accord", cette en fait non-décision diplomatique. Et après 10 ans, bonjour pour "rectifier le tir" ...C'est tellement clair que tenter de nous persuader du contraire, c'est vraiment nous prendre pour des truffes...

  • Posté par Dupont Albert, lundi 27 mars 2023, 9:37

    Oui on se console comme on peut. Je peux déjà en exclusivité et gracieusement vous donner les conclusions de cette étude: « un manque de recul ne permet pas de conclure à un impact du master sur l’installation de médecins en Hainaut. Donc, au bénéfice du doute, il est recommandé de continuer et de fournir des moyens financiers supplémentaires ». Autant gagner du temps et épargner de l’argent

  • Posté par Fonder Daniel, lundi 27 mars 2023, 9:19

    Une sortie par la petite porte … celle du sous-localisme partisan …

Plus de commentaires

Aussi en Enseignement

Enseignement supérieur: la réforme des habilitations poursuit son parcours

Ces préoccupations avaient été au cœur d’un blocage de plusieurs semaines en début d’année sur la création des Masters en médecine de l’UMons et de l’université de Namur, finalement approuvée fin mars, moyennant des garanties de discipline budgétaire et la perspective d’une réforme du processus.
Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs