Valérie Glatigny sur la crise en Fédération Wallonie-Bruxelles: «Il n’y aura plus de petit deal en dessous de la table»
Vrai débat sur la manière d’aborder la pénurie, révision en profondeur du système des habilitations, dénonciation du sous-localisme… La ministre de l’Enseignement supérieur tire les leçons de la crise.


Lorsqu’elle est passée, en 2019, de l’ombre des institutions européennes à la lumière du gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Valérie Glatigny ne s’attendait certainement pas à être, quatre ans plus tard, au cœur d’une crise politique majeure entre francophones. Voire au centre d’une partie d’échec entre présidents de partis à l’ego surdimensionné. Elle revient sur les leçons de la crise.
Qu’est-ce qui a permis, ce week-end, de dégager une solution ?

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MM. Magnette et Bouchez se sont tous deux ridiculisés et ont ridiculisé la politique au sens noble, car oui! n'en déplaise aux grincheux! la politique (la vraie!) est noble.
Plus de dessous de table, plus de magouilles, plus de caisse noire. Le PS trinque !
C'est la médecine qui a perdu. Grâce au régionaliste Magnette, deux masters en plus sans financement supplémentaire. Une formation au rabais.
Avant il y avait des petits deals, maintenant c'est fini ! Le très courageux G.L.Bouchez a envoyé deux femmes défendre le texte qui acte son échec : Mes Glatigny et Nicolic. Le Hainaut va de l'avant et tant pis si les Liégeois se pincent !
Il suffit de lire l'ensemble des conditions imposées pour comprendre que Bouchez a gagné.